Dimanche

21 Septembre 2003

Une autre journée de terminée. Je me retrouve enfin devant mon écran d'ordi à taper ce texte. Mais n'empêche.. ce fut une excellente journée. Le soleil est au rendez-vous, le monde est gentil. Tout va comem sur des roulettes.

En n'importe quel temps il est possible de voir des trucs bizarres à Montréal. Surtout au centre-ville. Aussi tantôt, il y avait un oriental qui gueulait quelque chose avec un petit porte-voix. Ça ne semblait pas être de l'anglais et certainement pas du français. Je ne sais pas ce qu'il gueulait mais ça commençait à être fatiguant et je ne faisais que passer. Il y en a un par contre qui trouvait ça plus fatiguant que moi. Il a du être exposé plus longtemps que moi à ce gueulage intensif car quand je me suis retourné, les deux étaient points levés et semblaient sur le point de se battre. La liberté d'expression est permise mais pas au dela d'un certain volume.. ce serait la leçon à en tirer...

J'ai vu un balcon transformé en un genre de petit atol de verdure... Un vrai petit paradis! C'est ça qui est chouette l'été. On peux mettre des plantes partout et ça dépayse vraiment. Juste quelques treillis et grandes plantes. Des fois je me dis que j'aimerais ça le faire moi aussi. Mais je dois me rendre à lévidence. Je suis trop sauvage. Dans le sens que je viens de la campagne. Et malgré le temps passé à Montréal, je n'ai jamais pu approvoisé la trop proche proximité des voisins. Aussi sortir sur le balcon et savoir que je peux plonger mon regard chez les voisins ou vice verça, ça m'agace.

Red! Un film des années 70 avec Donald Pilon entre autre. Il me semble que c'est une production de Gilles Carles. Il y a quelque chose qui m'amuse toujours dans ce genre de film. C'est le petit parlé stoïque, le jeu froid. Mais comment se fait-il que l'on accorde tellement d'importance à ces films. Au pire je me dis que ça donne de belles visions de ce qu'était le Québec autrefois, Mais pour les scénarios invraisenblables et le jeu d'acteurs non naturel, c'était assez fréquent!

Ici rien de révolutionnaire dans ce cliché si ce n'est qu'un jeu d'ombre intéressant. L'un est éclipsé et l'autre c,est l'ombre. Résultat? L'ombre est pareil à son modèle. Comme quoi quand on dit que l'on est que l'ombre de soi-même... c'est assez égalitaire si on est éclipsé :o)