Ça y est! Je l'ai... Je m'étais levé de bonne heure pour avoir le temps d'aller le chercher. je parle de mon vélo. D'ailleur vous pourrez l'appercevoir en cliché ci-dessous. Hummm à la caisse je commençais à préparer les arguments. Je l'avais marchandé à $250 au lieu de $300 puisqu'il avait été en spécial à ce prix il n'y a pas si longtemps. La caissière voulait le coder au prix régulier... Hummmm elle l'aurait gardé son vélo si elle n'aurait pas respecté ce prix!
Là je vous avoue qu'il m'agace plus qu'autre chose. Il est là dans mon corridor, tout pimpant et tout neuf avec son maigre kilomètre unique que j'ai pu pédaler pour le ramener chez moi. Je n'ai pas pu aller l'essayé encore sur des vrais sentiers pour faire travailler sa double suspension et sentir vraiment la différence.
Alors donc le voilà... Ce n'est pas un vélo ultra léger mais il fait ce qu'il se doit pour me satisfaire moi. En fait il manque juste un beau petit garde-boue à l'arrière pour lui donner encore plus un style "motocross" pour être exactement à mon goût.
Ma foie, le temps a passé tellement vite avec tout ce travail que je viens juste de réaliser qu'on est le premier août et je n'avais même pas transféré mon émission en real-audio. Ça se fait au moment même où j'écris ces lignes et je le mettrait en ligne au moment ou vous pourrez lire ces même lignes. Pour vous dire comment je suis déphasé un peu, le jour de la fête de Guy (le 28) j'étais persuadé d'être le 27. C'est donc le lendemain que j'ai pris conscience de la vraie date :o)
Tant qu'à avoir parler autant de vélo, pourquoi ne pas vous montrer un beau petit troupeau de vélos dans leur habitat naturel où ils aiment bien se reposer. les vélos plus solitaires de milieux urbains, aiment bien aussi se reposer sur un balcon tranquille ou une clôture de terrain familial. Quand aux plus pauvres, ils se contentent d'un simple poteau ou d'un petit tronc d'arbre. Moi, mon vélo est bourgeois. Il exige de se reposer dans les mêmes murs que moi :o).
Ces temps ci on ne cesse d'entendre parler de ces squatteurs qui exigent, et qui marchandent. Ça me fait quand même étrange. Exiger des conditions sur quelque chose qui ne nous appartiens pas. Je ne suis pas assez renseigné sur tout le débat entre politiciens et squatteurs mais il me semble qu'il manque d'un ingrédient important dans ces négociations. Cet ingrédient c'est le mot Merçi!