Rollerblade

Vous avez deux section ici. Le texte du bas parle du rollerblade en abordant la philosophie du sport, ses joies et mes opinions sur ce sport. Si par contre vous préférez une lecture plus technique, cliquez sur le lien "bon à savoir" juste en dessous de ce paragraphe... Si vous voulez lire le contenu de cette page-ci où vous vous trouvez, vous trouverez les mêmes liens au bas de la page. Au monde selon Werewolf on fait tout pour vous mettre à l'aise :-) Bonne lecture...

Moi et mes Rollers Ça c'est moi vous l'aurez deviner. Et cette photo est très naturelle. Le sourire n'est pas du tout forcé. Toby à appuyé au bon moment sur le bouton pour immortaliser cette belle soirée. C'était au Stade en Janvier 98. J'ai passé 3 journées en ligne à faire du rollerblade. J'était presque dans mon petit paradis moi! C'est juste dommage qu'elle aie pensé à prendre des photos juste au moment où nous quittions. J'aurais bien aimer qu'elle soit en photo elle aussi. On pourra se reprendre en Janvier 99 J'espère. Pour revenir à la photo c'est tout à fait moi. Dommage qu'elle soit un peu sombre. Mais comme je suis habillé un peu coloré ca fait contraste! :-)

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Bard_Boule

Voila sans contredit la passion que je pratique le plus en été :-). J'en faisais déja depuis cinq étés auparavant mais je privilégiais mon vélo de montagne. Cepandant l'été passé, je ne sais pourquoi, j'en suis devenu fou. Comme j'ai eu tout un été de relâche, j'ai pu m'y adonner à volonté. J'estime avoir fait trois milles kilomètres pendant cette dernière belle saison. Parmi mes amis je ne crois pas être le plus spectaculaire. Quand je vois Shark faire des sauts en hauteur j'aimerais bien y arriver. Mais on dirait que je fige au moment de sauter. Je ne renonce pas pour autant à cette fantaisie. J'ai découvert des petits trucs intéressants à faire cet été. Et j'en ai d'autres en tête que je compte maîtriser avant l'automne. Et je sais que je vais y arriver...

Je peux sans me tromper dire que je suis le plus maniaque des huit roues parmis mes amis. Cette chère Toby est à peu près de mon niveau de vitesse et de style. Mais elle se fatigue ou pense à passer à une autre activité bien avant moi. J'ai d'ailleurs contaminé mon cousin du virus à huit roues cet hiver lors de la semaine de roller-blade au stade Olympique de Montréal.

Tiens! D'ailleurs, je réalise que je dis toujours Roller-blades au lieu de patins à roues alignées. Ce n'est pas pour faire de la publicité. Mais je dois quand même avouer que c'est la marque avec laquelle j'ai toujours roulé.

Et maintenant je vais vous dire ce qui fait de ce sport une passion si grande pour moi... Le soir quand la noirceur enveloppe la ville et que l'air devient plus frais, c'est là que je chausse mes patins. Un casque d'écoute fait corps avec ma casquette et je pars. Je n'ai pas de but précis. Je roule dans les rues et ruelles. La musique peut bien jouer un peu fort. Je suis pratiquement toujours à contresens de la circulation ou dans les sens uniques. Ainsi, je vois venir très à l'avance les autos avec leurs phares qui me regardent d'un regard désapprobateur. Ça me permet ainsi de dégager la route bien avant d'être en situation dangereuse.

Un jour, il y a bien eu une vieille dame scandalisée de me voir rouler sur le trottoir... Je ne l'avais même pas bousculer ni rien de cela j'ai juste passé à coté d'elle et elle m'a alors crié.. - Mais vous êtes un vrai malade !! J'ai pris mon sourire le plus nonchalant et je lui ai répondu - Peut-être, Mais j'aime ça... Ça l'a complètement désarmé. Le stress de la ville n'a pas grand effet sur moi.

C'est incontestablement cette impression de liberté totale qui me pousse à ne jamais vouloir m'arrêter. Quand je roule au son de ma musique préférée, le temps perd sa consistance. Les priorités deviennent des détails ténus. Seul le présent compte et je retrouve une joie presque rebelle de me sentir libre d'aller où je veux, de découvrir de nouveaux lieux et de pratiquer de nouvelles fantaisies. Je suis descendu trois fois cet été à la campagne chez mes parents.

La première fois que ma mère m'as vu arriver par un chaud après-midi, le linge dégoulinant de sueur et les roues aux pieds, elle n'en revenait pas. Mais pour moi, je trouvais que ça s'est vite fait. Mon plus long trajet est de cent cinquante kilomètres. C'est un trajet qui donne Soif! Les soirs d'automne, c'était chouette aussi... J'allais stopper ma folle course dans un gros tas de feuilles. J'ai même poussé la folie à en faire à une couple de reprises au début de décembre, alors que la neige n'avait pas trop envahi les rues.

Inutile de dire que ma saison de patin a commencer très tôt. Le 15 Mars environ. Les terrains étaient encore blanc de neige. Mais les rues sont parfois assez sèches pour pratiquer mon sport préféré en dépit des graviers qui sont encore nombreux :-)





Pulse

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