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Si un lapin prenait de la drogue... Aurait-il les yeux plus rouges? Ou encore pourrait-il se saouler à en marcher à 4 pattes? Et côté sexe.... Pourrait-il être dépravé? ... Coudonc... Un lapin c'est peut-être pas si gentil que ca et on ne le saurait même pas?


Salut mes tyzamis
Tiens c'est ironique ce que j'écrivais en marge de droite. Ma petite pensée improvisée c'est hier soir avant le dodo que je l'ai écrite. Oui j'aime bien préparer mes choses à l'avance. C'est ainsi quand je le peux. Remmetre à demain ce que je peux faire aujourd'hui n'est pas toujours mon cas :-) Mais ce matin 15 minutes après m'être levé j'ai eu un coup de téléphone que je taierais tiens. Les sujets peu reluisants je n'aime pas les étaler parce que les personnes concernées n'aimeraient sûrement pas être lues.

Mais suite au téléphone ça me fais penser comment personne n'est à l'abris. C'est l'histoire d'un gars. Dans la 20aine je dirais. Je ne le connais pas énormément et je ne crois pas que ce ne puisse être un grand chum de la manière que c'est parti. Du moins il faudrait qu'il coule de l'eau sous les ponts avec des changements en perspective. Donc reculons dans le temps. C'est un gars qui a des projets plein la tête. Des projets constructifs. Ça fonctionne bien! Ça s'annonce même prometteur. Seulement voilà... Un jour le vent tourne. Les projets ne fonctionnent plus bien. Surprenant je sais bien.. Mais nous sommes dans une période économique aussi fragile qu'une bulle de verre.

Alors d'avoir goûter aux courants de l'ambition pour se retrouver devant rien en bout de ligne, il faut recommencer. Mélange de petite "jobs" et de frustrations parce que les projets ne redémarrent pas. Il arrive un temps où on dit à quoi bon et qu'on se révolte contre le système. Mélange de "jobines" et de chômage fais suite au mélange de "jobines" et d'assistance sociale. Les joins se succèdent pour s'évader dans des timings de plus en plus resserrés. Alors l'assistance sociale fait bon ménage avec l'oisiveté et l'irresponsabilité. De toute façon quand on veut le haut de l'échelle immédiatement on crache sur tout monticule qui peut se présenter à soi. C'est le héron de la fable qui n'en est pas encore rendu heureux du dernier goujon venu. Mais son appétit se creuse dangereusement.

Hors le temps passe et on goûte aux paradis artificiels plus forts mais aussi plus dangereux et l'on deviens accro. Les petits nuages de douceur dissimulent de suptils hameçons auquels l'on s'accroche rapidement. Si on se débat, d'autres nous agrippent. Le bonbon ayant légèrment fondu n'est plu du tout sucré. Son coeur est de vinaigre et l'on se rend compte que le voisin à un bonbon bien plus sucré que le nôtre. On est alors prêt à tout pour se l'accaparer et même à frauder la famille la plus proche. Le nuage en fait possède un nom. Héroïne. On peut croire que ça fais de nous un héro... mais nous sommes biens les seuls à le croire, parce que le héro de cette histoire s'embourbe de plus en plus. à subir une couple de vacances à l'ombre de murs bienveillants et faire épaissir un dossier, occasionnellement des feuilles s'y ajoutent encore pour rendre ce dossier plus confortable. Pourtant sur la chaise de la justice on ne veux jamais s'y assoir.

Et nous en somme là, à un point ou notre entourage se méfie de nous au maximum, où l'on sent que le tourbillon tourne si vite que l'on ne peut faire autrement qu'être sur la défensive. Il parait qu'une semple étincelle pourrait faire exploser le carburateur qui est en manque dans nos entrailles. Le problême est que son essence est tellement plus chère que ce qu'affichent les pétrolières! Notre histoire n'est même pas terminée que le maquillage de l'acteur s'effrite! Ou celà nous mênera t-il?

Il vient un temps ou le miroir éclate et l'illusion n'existe plus. Mais rendu là.. c'est dur de ramasser les morceaux. Nous avons peur et nos spectateurs aussi. On fais quoi maintenant?
-FIN-

Ce genre d'histoire n'est pas reluisante mais ça c'est quand même courant! Je trouve ça dommage. Très dommage. Parce que j'ai vu la progression se faire sur une lente descente. Le plus navrant dans ça c'est de voir que ce sont les autres qui paient pour aider mais que ça ne donne rien. Autant jeter de l'eau dans le sable, elle l'absorbe. Il semble qu'il faut attendre d'atteindre le fond pour voir à quel point on est rendu bas! Pourtant personne ne mérite ça. La banalisation de l'actualité fait qu'on est habitué à en entendre parler. Mais le principe du "Jamais dans ma cour" fait que c'est toujours étrange de connaitre des noms. Comme le disais le Dr. Alban "Stop buging me, stop buging me, stop buging me, it's my life" C'est tout pour ce soir...



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